L'ancien premier ministre du Québec Bernard Landry fait publier aujourd'hui une lettre que les grands quotidiens du Québec rendent public.
Je me permet d'attirer votre attention sur deux ou trois éléments de cette lettre de Bernard Landry publié ce matin.
S'il est vrai que le débat n'est pas personnalisé à l'égard de Pauline Marois, il est tout aussi vrai que l'argumentation (la plaidoirie) n'en est pas moins très acérée.
Bernard Landry fait la nette démonstration que la "gouvernance souverainiste" de Pauline Marois va conduire le PQ, et avec lui le mouvement indépendantiste, tout droit vers un mur. Raison pour laquelle d'ailleurs les vrais indépendantistes ont déjà quitté le navire péquiste.
Se faisant, en réduisant en pièces la gouvernance souverainiste de Pauline Marois, Bernard Landry réduit à néant le leadership de cette dernière. Et si la dame a encore un peu de sens de l'honneur, elle doit démissionner sur-le-champs.
Mais à vrai dire, je ne me fais aucune illusion: Pauline Marois a un orgueil aveuglément mal placé, tant et si bien qu'elle n'a aucunement la capacité de percevoir la réalité décrite par Bernard Landry, pour un l'admettre, et de deux agir de manière conséquente et juste à l'égard de la cause.
Autrement dit, elle n'a aucunement la capacité de placer les intérêts de la patrie avant ceux du parti, et les intérêts du parti avant son propre intérêt à elle. Tout dans le comportement de Pauline Marois met en relief qu'une seule et unique chose: son ego démesuré, pour ne pas dire son nombril.
Dans cet optique d'une démission qui n'arrivera jamais, l'Option nationale fondée par Jean-Martin Aussant sera appelé à jouer ce rôle prépondérant à l'égard de l'indépendance du Québec, que le Parti québécois a désormais abandonné. Cette nouvelle formation politique né à l'automne de 2011 démontre sans l'ombre d'un doute que la patrie est notre loi (Amor patriæ nostra lex).
De Soulanges,
Normand Perry.
Je me permet d'attirer votre attention sur deux ou trois éléments de cette lettre de Bernard Landry publié ce matin.
S'il est vrai que le débat n'est pas personnalisé à l'égard de Pauline Marois, il est tout aussi vrai que l'argumentation (la plaidoirie) n'en est pas moins très acérée.
Bernard Landry fait la nette démonstration que la "gouvernance souverainiste" de Pauline Marois va conduire le PQ, et avec lui le mouvement indépendantiste, tout droit vers un mur. Raison pour laquelle d'ailleurs les vrais indépendantistes ont déjà quitté le navire péquiste.
Se faisant, en réduisant en pièces la gouvernance souverainiste de Pauline Marois, Bernard Landry réduit à néant le leadership de cette dernière. Et si la dame a encore un peu de sens de l'honneur, elle doit démissionner sur-le-champs.
Mais à vrai dire, je ne me fais aucune illusion: Pauline Marois a un orgueil aveuglément mal placé, tant et si bien qu'elle n'a aucunement la capacité de percevoir la réalité décrite par Bernard Landry, pour un l'admettre, et de deux agir de manière conséquente et juste à l'égard de la cause.
Autrement dit, elle n'a aucunement la capacité de placer les intérêts de la patrie avant ceux du parti, et les intérêts du parti avant son propre intérêt à elle. Tout dans le comportement de Pauline Marois met en relief qu'une seule et unique chose: son ego démesuré, pour ne pas dire son nombril.
Dans cet optique d'une démission qui n'arrivera jamais, l'Option nationale fondée par Jean-Martin Aussant sera appelé à jouer ce rôle prépondérant à l'égard de l'indépendance du Québec, que le Parti québécois a désormais abandonné. Cette nouvelle formation politique né à l'automne de 2011 démontre sans l'ombre d'un doute que la patrie est notre loi (Amor patriæ nostra lex).
De Soulanges,
Normand Perry.
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