De manière très exceptionnelle aujourd'hui, je vais mettre en relief le texte récent d'une journaliste, Josée Legault, ayant exprimé les sentiments d'une grande majorité à l'égard de la classe politique au Québec, plus particulièrement du PLQ de Jean Charest. Dans une émission radiophonique diffusée à la Première chaîne de la SRC samedi le 8 mai 2010, madame Legault évoquait la colère grondante et bien sentie dans la population québécoise, particulièrement lorsque les gens du public l'abordent au marché, à la pharmacie ou autre endroit du genre, pour lui exprimer cette colère en des mots tellement crus que l'on ose guère les rapporter dans les médias. C'est d'ailleurs ce passage à la radio le 8 mai qui fut l'élément déclencheur de mon billet du même jour sur mon propre blogue.
Je vais placer en lien (à la fin de mon billet) ce texte qu'elle publiait cette semaine sur son blogue le 12 mai 2010. Ma volonté est d'inviter mon lectorat à entamer, par cette lecture et avec moi par la suite, une réflexion sur la décadence démocratique dont nous sommes à la fois les témoins et les victimes en tant que citoyens. A terme mon intention est démontrer la nécessité de jeter un regard studieux sur certains principes nous ayant été légué par certains penseurs en cette matière: Aristote, Platon, Cicéron, l'empereur romain Marc-Aurèle et beaucoup d'autres encore. Si certain d'entre-vous y perçoivent une opération visant à démontrer la nécessité de l'instauration d'un régime républicain au Québec, je vous dit maintenant que vous visez juste.
Avant d'y parvenir il faudra trouver un moyen de débarrasser le paysage politique québécois actuel des éléments à l'égard de qui de très graves allégations pèsent, et par incidence font peser sur la société québécoise un désabusement et une indifférence qui leur sont (aux présumés manipulateurs), dans les circonstances, très profitable. Mais qu'on ne s'y trompe guère: un jour ou l'autre il faudra bien rendre des comptes: la sagesse en effet tout comme l'histoire d'ailleurs démontrent que des intérêts gagnés de manières indus finissent toujours un jour ou l'autre par coûter plus cher à ce qu'il fut nécessaire en efforts pour les obtenir. Il ne suffit de lire l'histoire de certaines révolutions dans le monde pour s'en convaincre.
Je vais placer en lien (à la fin de mon billet) ce texte qu'elle publiait cette semaine sur son blogue le 12 mai 2010. Ma volonté est d'inviter mon lectorat à entamer, par cette lecture et avec moi par la suite, une réflexion sur la décadence démocratique dont nous sommes à la fois les témoins et les victimes en tant que citoyens. A terme mon intention est démontrer la nécessité de jeter un regard studieux sur certains principes nous ayant été légué par certains penseurs en cette matière: Aristote, Platon, Cicéron, l'empereur romain Marc-Aurèle et beaucoup d'autres encore. Si certain d'entre-vous y perçoivent une opération visant à démontrer la nécessité de l'instauration d'un régime républicain au Québec, je vous dit maintenant que vous visez juste.
Avant d'y parvenir il faudra trouver un moyen de débarrasser le paysage politique québécois actuel des éléments à l'égard de qui de très graves allégations pèsent, et par incidence font peser sur la société québécoise un désabusement et une indifférence qui leur sont (aux présumés manipulateurs), dans les circonstances, très profitable. Mais qu'on ne s'y trompe guère: un jour ou l'autre il faudra bien rendre des comptes: la sagesse en effet tout comme l'histoire d'ailleurs démontrent que des intérêts gagnés de manières indus finissent toujours un jour ou l'autre par coûter plus cher à ce qu'il fut nécessaire en efforts pour les obtenir. Il ne suffit de lire l'histoire de certaines révolutions dans le monde pour s'en convaincre.
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